FAQ

Non. Tu peux régler mensuellement, trimestriellement, ou comme on se met d’accord.
On n’est pas une banque… mais on sait s’adapter.

Peut-être, oui.
Les frais sont adaptés au quotient familial, et des solutions sont étudiées au cas par cas.
L’argent ne doit pas être un mur infranchissable, même si c'est ce qui permet à l'école de vivre. Parlons-en.

Oui. Il y a une réduction fratrie.
Et plein d’amour en bonus.

À payer l’enseignante, le loyer, le chauffage, le matériel pédagogique, les bottes perdues et les cartouches d’imprimante qui rendent l’âme en juin.
Bref : à faire tourner l’école, au quotidien.

Oui. Vraiment.
Pas forcément tous les jours, ni sur tous les fronts… mais sans les familles, l’école ne peut pas fonctionner.

L’école est associative. Ce n’est pas une “école comme les autres avec une touche sympa”, c’est un projet porté collectivement :

• Ce sont les familles qui organisent les événements,

• Qui montent les étagères,

• Qui viennent parler de leur métier ou prêter une perceuse,

• Qui remplissent les dossiers,

• Et qui, parfois, préparent 200 crêpes,

• Ou encore qui font la cantine.

Chacun s’investit selon son temps, ses talents, son énergie du moment. Il n’y a pas de “minimum légal”, mais il y a une vraie attente de présence active, concrète, solidaire.

Inscrire son enfant ici, c’est aussi inscrire sa famille dans l’aventure.
Et c’est ce qui rend l’école unique. Et vivante.

Oui, de 250€ au moment de l'inscription (non remboursables).
Ça permet de couvrir les formalités et de réserver la place mais aussi à acheter tout le matériel des élèves pour l'année (cahiers, stylos, papier, tabliers, livres, etc.).

L’école fournit l’essentiel.
Tu prévois juste quelques affaires personnelles à la rentrée : bottes, gourde, casquette, chaussons… et l’envie d’apprendre.

Non.
Chaque enfant apporte son repas, dans une boîte marquée à son nom.
Il y a un frigo, un chauffe-gamelles, et une ambiance sympa à table.
On évite de goûter le plat du voisin, même si ça sent bon (allergies obligent).

Pas pour l’instant, mais on peut réfléchir ensemble à des arrangements selon les besoins.

Non.
Mais certains parents s’organisent entre eux pour du covoiturage.
Et ça crée de chouettes trajets partagés !

Tu nous préviens, on échange, on fait les choses proprement.
On n’est pas dans une cage dorée.
Mais on aime bien se dire au revoir correctement.

C’est possible. Et ça se passe généralement très bien.
Nous suivons les compétences du socle commun de l’Éducation nationale, donc les enfants retrouvent assez facilement leurs repères.

Bien sûr, il peut y avoir un temps d’adaptation : au fonctionnement, au rythme, au nombre d’élèves, à la posture plus descendante…
Mais les enfants qui ont appris à penser, s’exprimer, s’adapter et coopérer ont en général les bonnes bases pour rebondir.

On prend toujours le temps de préparer avec la famille et l’enfant ce retour, quand il est envisagé.
Et on reste en lien, même après : une réintégration réussie, ça fait aussi partie de notre mission.

Peut-être.
Nous accueillons des enfants avec des particularités (DYS, HPI, hypersensibles…).
Nous n’avons pas de dispositif spécialisé ou d’AESH à plein temps, mais nous avons de l’écoute, de l’expérience et une vraie attention.
On échange, on évalue ensemble ce qui est possible.

Personne n’a de boule de cristal…
Mais l’école est déclarée auprès de l’Éducation nationale, elle existe depuis plusieurs années (on attaque la 8ème année à la rentrée), et elle est portée par une équipe et des familles engagées et actives.
Plus vous êtes nombreux… plus l’école tient debout.

Nous sommes contrôlés par l'Inspection Académique et le Rectorat qui nous imposent de respecter le socle commun des apprentissages et des connaissances. Même si nous respectons le rythme des élèves, nous mettons tout en œuvre pour qu'à la fin de chaque cycle, nos élèves aient acquis ce socle commun.
Ici, on apprend différemment parfois… mais sérieusement toujours.

Oui, quand c’est utile.
Par exemple : lire à la maison, apprendre une poésie, relire une leçon, etc.
On pense que les apprentissages ont besoin d’être renforcés dans différents contextes.
Mais on évite les devoirs “pour faire comme les autres” : ici, on privilégie le sens et la mesure.

Oui.
Pas tout le temps, pas pour tout, mais quand ils servent vraiment.
On utilise aussi beaucoup de supports faits maison, des outils manipulables, des projets, des cartes mentales…
Le but, ce n’est pas de “finir le fichier” : c’est de comprendre, de progresser, et de donner du sens à ce qu’on fait.

Non. Mais souvent.
Nous sortons régulièrement dans la nature : pour jardiner, explorer, apprendre sur le terrain, créer, respirer.
C’est une partie intégrante de notre pédagogie, pas une option “fun du vendredi”.

Non.
Mais on leur apprend à vouloir ce qu’ils font.
Il y a un cadre clair, souple mais structurant, avec des règles construites ensemble, et une ambiance de classe propice au travail, au calme… et à l’humour aussi.

Un moment magique de l’année où les enfants deviennent organisateurs, artistes, communicants, hôtes et créateurs.
Ils choisissent un thème, préparent des expos, des jeux, des saynètes…
Et ensemble, on crée un festival ouvert à tous.
C’est notre façon de mettre en lumière tout ce qu’ils ont appris en vrai, avec joie.

Oui. L’école est associative.
L’adhésion (10€) permet de voter en AG, de s’impliquer, et de soutenir le projet.
C’est un engagement symbolique… et réel.

Pour le moment, non… même si nous avons les autorisations pour accueillir les collégiens.
Les locaux actuels ne sont pas adaptés à un accueil de ce niveau.

Mais c’est un projet qui nous tient à cœur !
Nous faisons tout notre possible pour ouvrir un collège alternatif dans la continuité de l’école.
Nous sommes actuellement à la recherche de locaux et de financements pour le concrétiser.

Si ce projet vous parle, faites-le nous savoir : plus nous sommes nombreux à le porter, plus il aura de chances de voir le jour !